vendredi 31 octobre 2008

mercredi 29 octobre 2008

Vidéo (nouvelle version) : BECK, " Gamma Ray ". Very well Beck...



Vidéo : COLD WAR KIDS, " Something Is Not Right With Me ". American rigolo...




















                                                                                                             

" Something Is Not Right With Me " est extrait du dernier album des COLD WAR KIDS, intitulé " Loyalty To Loyalty " et disponible là ou vous savez.
Vous pouvez retrouver COLD WAR KIDS sur les " MYSPACE TRANSMISSIONS SESSIONS ", ici ou , au choix.

lundi 27 octobre 2008

HOUSSE DE RACKET AFTERSHOW RELASE PARTY – MERCREDI 29 OCTOBRE (23H 30- LE REGINE - 49, rue de Ponthieu 75008 Paris). DJ sets et match…















































Pour fêter la sortie de leur premier album "Forty Love", HOUSSE DE RACKET squattent le Régine, et invitent leurs amis pour une soirée entre live érotique de GONZALES et dj sets fantastiques:
Pour ce faire, Jean Benoit Dunckel, la moitié de AIR fera pousser en vous quelques réminiscences "French Touch" et vous fera danser le coeur, les pieds, une larme au coin de l'oeil.
Il partagera les platines avec THE TEENAGERS, GUIDO & MOMO , CHÂTEAU MARMONT, KOKO VON NAPOO et JILL du trio féminin JVC.

LE REGINE - 49, RUE DE PONTHIEU 75008 PARIS



















Oh Yeah! - Housse De Racket

vendredi 24 octobre 2008

jeudi 23 octobre 2008

REDLIGHT : « Crash System Control »- album. Rock the Pastis (post 2)…


REDLIGHT : « Crash System Control »- album. Rock the Pastis (post 1)…



















Laurent O était éleveur de nuages du côté de la cité phocéenne depuis maintenant pas très longtemps.
Les affaires marchaient couci-couça pour ce jeune berger à gouttelettes suspensives qui avait misé toutes ses billes et un gros calot sur un hypothétique dérèglement climatique que Nostradamus avait prédit pour la saint Glinglin à 5000 ans près, à la louche et de façon approximative sans être non plus, à sa décharge, complètement catégorique.
C’est dire la crédibilité qu’il fallait accorder à ces prophéties en quatrains qui pullulent encore aujourd’hui dans certains magazines féminins à la rubrique horoscope où tout va pour le mieux pour la plupart décans.
Il fallait être réaliste, les conditions climatiques pour que le projet de Laurent O réussisse n’étaient visiblement pas encore totalement réunies.
Laurent O était verseau ascendant quelque chose, et à priori tant que Venus ne viendrait pas faire coucou en toquant sur la tête de Pluton, ça ne le ferait pas.
Ainsi parlait Zara Thoustra, grande prêtresse des signes zodiaquales devant l’éternelle et indispensable page à pouffes.
Le bleu du ciel était du genre macho dans cette région du sud et les rayons du soleil portaient un marcel 100% coton sur des épaules frêles mais déterminées en grimpant jusqu’à la bonne mère avec une décontraction et un accent débonnaire à couper au lasso quelques tranches de pastaga que l’on trouvaient assez facilement dans l’arrière pays, là, juste derrière.
La météo était désespérante à Marseille.
Il faisait beau et ce beau temps faisait de l’ombre à Laurent O.
Laurent O avait la transhumance en berne.
Pour se changer les idées , Laurent O composait avec l'aide de deux compères des chansons implacables en taquinant les guitares avec des histoires à dormir debout et en balançant des riffs à réveiller tous les habitants du pays des maures, gendarmes de Saint-Tropez inclus.
Le résultat était assez imparable et à défaut de faire la pluie sur le sud de la France, Laurent O, leader du groupe REDLIGHT, mettait un peu de soleil dans nos tympans sclérosés par tous ces groupes à 3 accords qui faisaient toujours autant de bruit pour rien.
La maîtrise de REDLIGHT est parfaite et la maturité déconcertante.
REDLIGHT distille des pop songs aux influences assumées, mélange de rock lunaire, de ballade désenchantée, de soul qui ne fatigue pas et de hip-hop plutôt cool, le tout passé dans un shaker bien actuel qui ferait passer l’anticyclone des Açores pour un groupe de folklore péruvien qui danserait la lambada sur le parvis de Notre-Dame.

En écoute ci-dessous : « Rock Is Dead » 



mercredi 22 octobre 2008

STUCK IN THE SOUND : " Ouais " (new single), extrait du prochain album disponible bientôt. Yeah...


Cliquez sur AUDIO pour écouter " Ouais "


Clip " Toy Boy" extrait du 1er album " Nevermind The Living Dead "


STUCK IN THE SOUND


mardi 21 octobre 2008

WHITE LIES : " Death " & " Unfinished Business ". Cold-Wave made in London...





WHITE LIES travaille actuellement sur son 1er album.

lundi 20 octobre 2008

WENDYCODE : « Hunting Your Night » (Ep) & « We’re Forgotten Legends » , extrait de « Am I Snowing ? » (album). Indie-Pop -Rock addictive…



















Wendy était d’humeur rock’n’roll en ce matin de soldes.
Il faisait un froid de canard à ne pas mettre une poussette dehors et une pluie fine tombait avec grâce comme un judoka 3ème dan.
Pour se réchauffer, Wendy tapait le bitume avec ses escarpins à talons haut mais pas trop. 

Elle avait toujours eu le vertige, la peur du vide l’angoissait et préférait par conviction garder les pieds sur terre en essayant de prendre un maximum de hauteur.
Entourée par une grappe de belles madames labellisées « carré Hermès » et « anarchy in Passy», Wendy attendait nerveusement mais patiemment l’ouverture du magasin qui allait rançonner sa Master Card colorée à code improbable en observant avec incrédulité la ola du pouvoir d’achat qui s’agitait autour d’elle.
Les esprits commençaient à s’échauffer méchamment et les chignons étaient sur le point de se crêper sans passer sous le sèche cheveux d’ Alberto, coiffeur styliste à mémé des beaux quartiers à particule vestimentaire.
Wendy observait et pouffait.
Elle avait juste besoin d’un nouveau petit haut en cashmere noir et l’occasion était trop belle pour ne pas succomber à une vitrine qui affichait une mine au rabais.
Wendy était muse de son état et n’appartenait pas vraiment à cette société qui tournait dans le sens inverse d’une aiguille à tricoter.
Elle venait d’une autre dimension. Une dimension où les fleurs ont des pétales parfumés, les paysages des allures de cartes postales et les guitares des cordes qui sonnent juste.
Kris et Dorian, les deux fondateurs du groupe WENDYCODE, attendaient le retour de Wendy avec une impatience qui frisait sous la pluie comme un cheveu sur une langue.
Wendy était leur muse et sans elle l’inspiration était bien moins inspirée.
Toutes les chansons de WENDYCODE parlait de Wendy et grâce à elle, le groupe se surpassait et composait des titres imparables qui réchauffaient la grisaille en pogotant avec les nuages.
Wendy est actuellement quelque part avec Kris & Dorian pour la réalisation du second album de WENDYCODE. 
Cette muse gagne vraiment à être connue.
La preuve ci-dessous :

Vidéo : THE DEARS, " Money Babies " extrait de " Missiles " à paraître bientôt. 1er tir...


















Track listing

Disclaimer
Dream Job
Money Babies
Berlin Heart
Lights Off
Crisis 1 & 2
Demons
Missiles
Meltdown in A Major
Saviour


Clip " Money Babies "


dimanche 19 octobre 2008

vendredi 17 octobre 2008

Playlist (6) pour le week-end...


Co-Talenting : BERTRAND BURGALAT + ROBERT WYATT = " This Summer Night "...



" This Summer Night " est extrait de l'album " Chéri B.B "


jeudi 16 octobre 2008

J'écoute YULES les jours de pluie ( mais pas que). Desperation Land...



















Vidéo : BROOKLYN, " Clandestine ". Paris calling...




Voir post sur BROOKLYN du 29 août dernier en suivant ce lien

mercredi 15 octobre 2008

GO GO CHARLTON : " Beaucoup Schlager "- Album. Beaucoup plaisir...


























Quatre joueurs de baby-foot s’échauffent tranquillement sur le bord de la pelouse.
Ils trottinent en sautillant à la cool en essayant vainement de lever des bras qu’ils n’ont pas.
Ils s’étirent aussi en faisant des grimaces un peu ridicule tout en discutant de la pluie , du beau temps et du trop plein de féculent avalé qui ne passe pas. Soudainement, sans crier gare, l’un d’eux, le plus grand, celui qui porte un chouchou dans les cheveux, se met à courir très très vite et de façon aléatoire puis s’arrête net comme quelqu’un qui ne l’est pas.
Les autres suivent, sans réfléchir . Le plus petit, celui qui porte le N° 9 et qui à priori n’a plus toute sa tête, fait le malin en courant de côté comme un crabe. Il tombe. Auto croche-pied involontaire mais indiscutable. L’arbitre qui n’a pas un compas dans l’œil mais deux, sort fièrement un carton rouge de sa poche en sifflant super fort pour se la raconter.
Le N° 9 sort sans discuter avec une tête basse de circonstance.
Un photographe accrédité pelouse verte, tour de France et ping-pong l’interpelle et l’immortalise en vignette panini. Le joueur le remercie en souriant avant d’aller au coin.
La pression est à son comble et le suspens limite supportable pour un supporter à écharpe labellisée couleur locale.
Le stade gronde très fort et est plein à ras bord comme une bière qui mousse trop.
Le brouhaha de la foule a des relents de fish’n chips pas très frais et l’haleine générale est d’humeur alcoolisée. La ola, elle, est du genre désynchronisée. Le cœur n’y est plus.
Le Charlton Athletic Football Club est mené 2 -0 et le résultat ne reflète en rien la branlée à venir en seconde période si l’entraîneur n’abat pas une ou plusieurs cartes dont lui seul a le secret.
Dans le vestiaire, les chaussettes sont au plus bas.
Olivier, Guillaume, Nicolas et Stobal, les quatre remplaçants Français du club de Charlton, ont une niaque d’enfer et rongent leurs crampons à défaut de ronger leur frein.
Ils sont prêts à en découdre. Ils peuvent rivaliser avec n’importe qui : Ronaldinho, les Smiths, New order, Olive et Tom, peu importe. Ils sont chaud comme la braise et franchement y a pas à dire ils sont vraiment chaud.
L’entraîneur le sent et dit Go, deux fois. Les cartes sont abattues mais plus les joueurs.
Le résultat du match, en écoute ci-dessous :



Vidéo : OF MONTREAL, " Id Engager ". Pop fofolle ...



OF MONTREAL

lundi 13 octobre 2008

LP33.TV, une nouvelle plate-forme musicale centrée sur le contenu vidéo...














LP33.TV est une nouvelle une plate-forme musicale, fondée par Andrew Bentley (DG, fondateur) qui espère bousculer l’industrie musicale comme un Sebastien Chabal déchaîné et légèrement agacé par tout le temps passé par Madame « l’industrie » à se regarder le nombril et à se maquiller la façade, en dépit du bon sens qui voudrait qu’une réalité se regarde plutôt en face, les yeux dans les yeux. Que l’on soit maquillé ou pas, d’ailleurs.
Internet est là avec sa nouvelle donne. Les amateurs de musique ont des envies et des préoccupations qui ont changé. Plaquage de Majors et de Majorettes souhaités et assurées avec LP33.TV. Le tout avec respect. Nous sommes entre gentleman. Le rugby est un sport noble et la musique à des valeurs et surtout une valeur.

Andrew Bentley est un « serial » entrepreneur et un peu poète le dimanche entre 16 et 18 h.
On ne se refait pas.
Le concept de LP33.TV est assez innovant et les objectifs souhaités sont ambitieux et clairement définis: « Devenir un acteur important du monde de la musique participative et de la vente en ligne ». Les cartes sont posées sur la table. La partie de poker Texas hold’em peut commencer. 

La main est plutôt bonne: LP33.TV est un mélange détonnant entre une communauté musicale « classique » (un site pour découvrir et promouvoir les jeunes talents), une chaîne de télévision en ligne (concerts, interviews, reportages, podcasts… ) et un label.
Subtil mix conceptuel entre la chaîne MTV, période « Vidéo Killed The Radio Star » et le Myspace que nous connaissons aujourd’hui.

Pour réussir son pari, LP33.TV a lancé dans un premier temps (fin août), une base de données professionnelles de l’industrie musicale (www.theMIDDB.com) à l’instar du IMDB pour l’industrie cinématographique.
L’idée est de créer une base de ressource et d’informations simple et claire pour tous les professionnels de la profession (musiciens, ingénieur du son, producteurs exécutifs…).
Un outil au service des professionnels pour les professionnels (petites annonces, news de l’industrie…).

LP33.TV vient de lancer sa version bêta et son site au grand public. Vous pouvez le découvrir en cliquant ici.
L’objectif prioritaire de LP33.TV reste la de promotion et la mise en avant des artistes et des jeunes talents.

L’idée est de proposer des clips vidéos de 90s de façon quotidienne réalisés par l’équipe de production de LP33.TV pour présenter ces nouveaux artistes (actualités, vidéos, concerts…)

Chaque artiste a bien évidemment sa page profil (à la Myspace). 
Il pourra télécharger son propre contenu, diffuser ses morceaux en streaming et vendre directement sa musique en fixant lui même son prix. L’artiste touchera 70% des revenus. LP33.TV mettra à leur disposition une gamme d’outils (liens, widget , vidéo.. ) pour obtenir un maximum de visibilité.
Les contrats « label » LP33.TV (non-exclusif) permettront aux artistes de vendre leur musique sur n’importe quelle autre plate-forme. Seul un accord d’exclusivité est prévu sur les droits images, vidéos et sur le merchandising que LP33.TV produira.


La vente de musique digitale reste une aventure périlleuse. LP33.TV le sait.
Andrew Bentley n’est pas né de la dernière pluie et ce projet lui tient particulièrement à cœur. On peut donc lui faire confiance pour surfer sur les difficultés auxquelles il va être confronté.
La plate-forme est assez complète (promotion, visibilité, mis en avant, contenu, vente de musique directe), bien ficelée et le projet à de fortes chances de réussir si les artistes suivent.

La difficulté est sûrement là. Peut-on résister à l’univers concurrentiel d’un Myspace si populaire auprès des musiciens ? Un Myspace qui va en plus proposer très prochainement de la vente directe de musique (Myspace Music).
Le succès sourit aux audacieux et quelquefois aux poètes le dimanche entre 16 et 18h00.
LP33.TV a sûrement toutes les cartes en main pour réussir son pari.
Une partie de poker Texas hold’hem se gagne aussi avec du culot et de l’audace et à priori LP33.TV n’en manque pas.
Initiative à suivre de très près avec un chapeau de cow-boy sur la tête, des lunettes fumées xxl, style mouche brésilienne, en attendant de voir les cartes du pré-flop et celles du flop.
Après, pour gagner le pot, il faut aussi en avoir.

* ce post a été écrit le 14 août dernier

Vidéo : MGMT, " The Youth "...



MGMT

vendredi 10 octobre 2008

jeudi 9 octobre 2008

Co-Branding : JOHN LYDON + COUNTRY LIFE = Anarchy in la meuh meuh...















" Anarchy in la Meuh Meuh " (2008)

" Anarchy in the U.K " (1978)


PIXIES : « Where is My Mind ? » Banques au bord de la crise de nerfs…




















Pour garder mon sang froid, je me branche en intraveineuse sur mon réfrigérateur.
C’est pas très pratique pour se déplacer mais pour l’instant j’ai rien trouvé de mieux.
La journée va encore être mouvementée. J’ai pas dormi de la nuit et je suis sur les genoux.
J’en profite pour prier Dieu le papa en faisant abracadabra avec mes mains.
Je me relève en serrant ma cravate et mes fesses aussi.
Je toast une tartine peu farouche et avale un café aussi serré qu’une rame de métro aux heures de pointe. Dans la foulée, je gobe 2 Xanax en buvant un jus de pomme bio ; d’une traite, sans agios et à 60 jours fin de mois le 10 comme un serial couillon de base.
Je teste mon QI en comptant mes doigts. Mon poisson rouge se marre.
Je le découpe en maki et je le fume en direct live devant CNN en tripotant la zapette et en regardant ma Rolex.
La météo est d’humeur chagrine et dehors il fait peur.
7h30, je m’assois dans un fauteuil en cuir noir labellisé CSP +.
Pas le temps de bailler, le téléphone sonne.
Je décroche ou dévisse, au choix.
Je suis programmé pour passer en mode stock option, CAC 40, Nasdaq, Nikkei, Funde Edge, Cash flow, Subprimes, jambon blanc et tête de veau, illico après avoir badgé.
Je suis trader. Charcutier trader.
J’achète, je vends et je m’amuse. C’est mon job. 
Je boursicote avec vos tripes.



Co-talenting : LOU REED + ANTONY (sans les JOHNSONS) = " Caroline Says, Pt.I " (live)...


Extrait du film BERLIN de JULIAN SCHNABEL

mercredi 8 octobre 2008

mardi 7 octobre 2008

PEPPER ISLAND : « Devil », extrait de « Grilled Elephant ». Soul & pepper…























PEPPER ISLAND, est une île paradisiaque qui se trouve dans le tropique des condiments. Idéalement placée sur le parallèle 23 26’22’’ de latitude nord, cette île fait face à 2 minutes en brasse coulée de l’île vinaigrette et est située grosso modo à 10 minutes à vol de pélican de l’archipel des endives. L’eau est couleur cristalline. Le sable est fin comme du sable et la température est idéale pour bronzer les doigts de pieds en éventail en sirotant des Piña Colada sans trop penser à nos cheveux qui malheureusement regraissent trop vite.
La vie y coule des jours paisibles et le ressac de la mer a rarement le vague à l’âme.
Les insectes ne sont pas hostiles du tout et les animaux sauvages qui habitent dans la forêt connexe à la plage ont tous des gueules de Télétubbies et ont l’air aussi méchants qu’une bande de moines bouddhistes qui pousserait le karaoké sur « All You Need Is Love ».
Ici, on court, on mange, on rit au ralenti parce qu’on est heureux.
Le soir on supporte facilement une petite laine sur les épaules.
C’est le seul hic, le seul petit bémol à cette carte postale idyllique où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Ayélé est seule comme un vendredi sur cette île paradisiaque avec son « cuatro », une guitare Vénézuelienne à 4 cordes trouvée par hasard sur l’île aux puces près de St-Ouen, comme unique compagnie.
Pour passer le temps, elle compose, pendant que Laurent, bassiste de son état, accompagne à l’aveugle Amadou et Mariam par monts et par vaux sur les sentiers de la gloire.
De retour, après une tournée mondiale qui donnerait le vertige à une montagne Russe qui aurait pris trop de hauteur ou pas assez de recul, Laurent retrouve Ayélé sur PEPPER ISLAND.
Ayélé est nerveuse comme une libellule qui aurait bu trop de café en lui faisant écouter ses ébauches musicales composées avec son « cuatro » dont elle est depuis tombée follement amoureuse.
Laurent tombe à la renverse et se fait un peu mal. Il n’est pas jaloux mais est touché par la grâce d’Ayélé et par cette voix résolument suave.
Il décide illico d’arranger et de mixer les compositions d’Ayélé et du « cuatro ».

PEPPER ISLAND n’a pour le moment signé avec aucun label mais comme tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, cela ne saurait tarder.

Vous pouvez écouter « Devil » ci-dessous :

Vidéo : FRIENDLY FIRES, " Paris ". Pop périmée...



FRIENDLY FIRES

vendredi 3 octobre 2008

Playlist (4) pour le week-end...
















La playlist (4) en écoute en cliquant ici

1/ Paris Blues (film de Martin Ritt)
2/ Bullitt (film de Peter Yates)
3/ Shaft, les nuits rouges de Harlem (film de Gordon Parks)
4/ Reservoir Dogs (film de Quentin tarantino)
5/ I Vitelloni (film de Federico Fellini)
6/ Il était une fois en Amérique (film de Sergio Leone)
7/ Elephant (film de Gus Van Sant)
8/ Manhattan (film de Woody Allen)
9/ Berlin (film de Julian Schnabel)
10/ Apocalypse Now (film de Francis Ford Coppola)

jeudi 2 octobre 2008

Co-Branding : KOOL AND THE GANG + BONUX = All You Need Is Loose...


























Le prochain album des rois de la boule à facettes sentira la poudre.
Il sera disponible dans son intégralité dans les paquets de lessive de la marque BONUX.
Plus d'infos ici... She's Fresh... exiting ?

Vidéo : RADIOHEAD, " Reckoner " by CLEMENT PICON...



RADIOHEAD

mercredi 1 octobre 2008

Vidéo : FLEET FOXES, " He Doesn't Know Why" . Folk-Cabécou...


FLEET FOXES

THE RODEO : « I ‘m Rude », extrait de « My First EP By THE RODEO. Folk-Spaghetti…












J’ai jamais voulu être un cow-boy. Même pas en rêve. Le nouveau Mexique, les grandes plaines du sud, la conquête de l’ouest, la ruée vers l’or, les pistolets à eau et les affiches dead or alive ne m’ont jamais fait plus d’effet que ça. Par contre, une fléchette d’indien, je le concède, ça me touche plus et ça peut faire très mal.
Tout ce folklore Etasunien qui gratouille du manche à 6 cordes auprès d’un feu de bois la nuit sur un fond d’harmonica qui sonne triste me ne parle pas. Je ne ressens rien.
Je préfère regarder un poisson rouge mort danser un bon hip hop de derrière les fagots que de me taper un mauvais John Wayne vivant en N& B de devant ma télé.
Le western n’est pas ma madeleine de Proust ni même ma tasse de thé et encore moins mon pépito de Houellebecq. J’ai jamais aimé les héros qui mourrait pour de faux.
Par contre, j’aime bien les spaghettis et Dorothée, la chanteuse de THE RODEO.
Au même titre que le ouestern spaghetti renouvela le genre en insufflant un peu d’originalité qui bouleversa et fera évoluer radicalement les codes des films à chapeaux, j’ose espérer que Dorothée influencera vite certains folkleux barbus et barbants.
Quoi qu’il advienne la voix de Dorothée reste royale.

Clip " I'm Rude "


Dorothée fait aussi partie du groupe HOPPER (voir anciens posts)


HUSHPUPPIES en concert à la MAROQUINERIE le 7 & 8 novembre prochain...

























Clip " Down Down Down "



Vidéo : JACK WHITE/ ALICIA KEYS, " Another Way To Die ". My name is...