PEPPER ISLAND, est une île paradisiaque qui se trouve dans le tropique des condiments. Idéalement placée sur le parallèle 23 26’22’’ de latitude nord, cette île fait face à 2 minutes en brasse coulée de l’île vinaigrette et est située grosso modo à 10 minutes à vol de pélican de l’archipel des endives. L’eau est couleur cristalline. Le sable est fin comme du sable et la température est idéale pour bronzer les doigts de pieds en éventail en sirotant des Piña Colada sans trop penser à nos cheveux qui malheureusement regraissent trop vite.
La vie y coule des jours paisibles et le ressac de la mer a rarement le vague à l’âme.
Les insectes ne sont pas hostiles du tout et les animaux sauvages qui habitent dans la forêt connexe à la plage ont tous des gueules de Télétubbies et ont l’air aussi méchants qu’une bande de moines bouddhistes qui pousserait le karaoké sur « All You Need Is Love ».
Ici, on court, on mange, on rit au ralenti parce qu’on est heureux.
Le soir on supporte facilement une petite laine sur les épaules.
C’est le seul hic, le seul petit bémol à cette carte postale idyllique où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Ayélé est seule comme un vendredi sur cette île paradisiaque avec son « cuatro », une guitare Vénézuelienne à 4 cordes trouvée par hasard sur l’île aux puces près de St-Ouen, comme unique compagnie.
Pour passer le temps, elle compose, pendant que Laurent, bassiste de son état, accompagne à l’aveugle Amadou et Mariam par monts et par vaux sur les sentiers de la gloire.
De retour, après une tournée mondiale qui donnerait le vertige à une montagne Russe qui aurait pris trop de hauteur ou pas assez de recul, Laurent retrouve Ayélé sur PEPPER ISLAND.
Ayélé est nerveuse comme une libellule qui aurait bu trop de café en lui faisant écouter ses ébauches musicales composées avec son « cuatro » dont elle est depuis tombée follement amoureuse.
Laurent tombe à la renverse et se fait un peu mal. Il n’est pas jaloux mais est touché par la grâce d’Ayélé et par cette voix résolument suave.
Il décide illico d’arranger et de mixer les compositions d’Ayélé et du « cuatro ».
La vie y coule des jours paisibles et le ressac de la mer a rarement le vague à l’âme.
Les insectes ne sont pas hostiles du tout et les animaux sauvages qui habitent dans la forêt connexe à la plage ont tous des gueules de Télétubbies et ont l’air aussi méchants qu’une bande de moines bouddhistes qui pousserait le karaoké sur « All You Need Is Love ».
Ici, on court, on mange, on rit au ralenti parce qu’on est heureux.
Le soir on supporte facilement une petite laine sur les épaules.
C’est le seul hic, le seul petit bémol à cette carte postale idyllique où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Ayélé est seule comme un vendredi sur cette île paradisiaque avec son « cuatro », une guitare Vénézuelienne à 4 cordes trouvée par hasard sur l’île aux puces près de St-Ouen, comme unique compagnie.
Pour passer le temps, elle compose, pendant que Laurent, bassiste de son état, accompagne à l’aveugle Amadou et Mariam par monts et par vaux sur les sentiers de la gloire.
De retour, après une tournée mondiale qui donnerait le vertige à une montagne Russe qui aurait pris trop de hauteur ou pas assez de recul, Laurent retrouve Ayélé sur PEPPER ISLAND.
Ayélé est nerveuse comme une libellule qui aurait bu trop de café en lui faisant écouter ses ébauches musicales composées avec son « cuatro » dont elle est depuis tombée follement amoureuse.
Laurent tombe à la renverse et se fait un peu mal. Il n’est pas jaloux mais est touché par la grâce d’Ayélé et par cette voix résolument suave.
Il décide illico d’arranger et de mixer les compositions d’Ayélé et du « cuatro ».
PEPPER ISLAND n’a pour le moment signé avec aucun label mais comme tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, cela ne saurait tarder.
Vous pouvez écouter « Devil » ci-dessous :
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