JOHN TRAP (solo) est le petit frère cadet de HAN (solo), célèbre personnage de la Guerre des étoiles, contrebandier arrogant mais néanmoins sympathique, pilote émérite du fameux Faucon Millenium et copain comme cochon avec Chewbacca, ours en peluche de bonne famille, typé comme un dreadlock à poils longs et vêtu d’une simple ceinture à explosion nucléaire de marque approximative mais néanmoins dissuasive
La guerre faisait rage du côté de chez Swann et de Jabba le Hutt .
Il ne faisait pas bon traîner ses guêtres dans le coin pour des raisons obscures mais finalement assez claires à comprendre si on voulait bien faire un tout petit effort géostationnaire.
JOHN TRAP (solo) était en transhumance avec son collectif de musiciens depuis plusieurs années sur la planète Finistère en attendant que les choses se tassent plus ou moins.
La situation était géopolitiquement compliquée et JOHN préférait rester entouré d’amis fidèles à composer des chansons à faire pleurer les étoiles avec sa princesse ooTiSkulf, sœur jumelle de la princesse Leia à deux gouttes d'eau près.
JOHN TRAP (solo) était en transhumance avec son collectif de musiciens depuis plusieurs années sur la planète Finistère en attendant que les choses se tassent plus ou moins.
La situation était géopolitiquement compliquée et JOHN préférait rester entouré d’amis fidèles à composer des chansons à faire pleurer les étoiles avec sa princesse ooTiSkulf, sœur jumelle de la princesse Leia à deux gouttes d'eau près.
OoTiSkulf ne portait pas de casque iPod de marque Bose greffé sous les couettes.
JOHN TRAP(solo) était un homme libre comme l'air qui connaît la chanson.
Son truc à lui, c’était la musique et tous ces combats entre le bien et le mal lui passaient au dessus du bonnet et de la chemise à carreaux comme un BON IVER de saison.
Son frère aîné, lui, préférait faire le kakou en jouant au sabacc (sorte de poker Texas Hol’dem intergalactique) sur la planète Tatooine avec Obi-Wan Kenobi et Luke Skywalker, 2 loosers magnifiques aux noms et prénoms à coucher sous un stalactique l’air de rien et en toute décontraction alors que le commun des Jedi aurait manifesté un désaccord assez légitime à coup de laser dans ta face à l’idée de s’assoupir sous cette lame à fort potentiel tranchant.
Après tout, chacun son truc. JOHN ne pouvait s’empêcher de penser qu’il était du bon côté de la force, entouré de Gabriel, Jacques, Céline, Mariwenn et Sylvain dans cette échappée solo toute personnelle, à l'abri et bien au chaud.
Dar Vador (ec), l’ami du mal et malin comme un singe qui ne pouvait plus faire de grimace, débarqua ni une ni deux sur la planète de JOHN TRAP (solo), habillé comme un Tokyo hotel 2 étoiles et débraillé comme un petit-déjeuner incompris.
Dar Vador (ec) tomba nez à nez sur JOHN TRAP (solo) qui terminait une composition au coin d’un feu à bûches cryonisées assez tendance.
« Je suis ton père ! », dit Dar Vador (ec) de but en blanc en regardant John droit dans les yeux et sans loucher.
JOHN TRAP (solo) n’était pas dupe. Il avait vu les 6 épisodes de la saga en DVD HD et connaissait l’histoire par cœur avec un e dans l'eau.
« Impossible ! », répondit JOHN en bombant le torse, fier comme Artaban.
Dar Vador (rec) le regarda bouche bée avec une voix un peu rauque' n ' roll.
JOHN TRAP se gratta le menton en fixant son adversaire avec de la colle Uhu.
« Ma mère ne peut pas avoir d’enfants ! », dit-il en sifflotant comme si de rien était l'air de
JOHN TRAP(solo) était un homme libre comme l'air qui connaît la chanson.
Son truc à lui, c’était la musique et tous ces combats entre le bien et le mal lui passaient au dessus du bonnet et de la chemise à carreaux comme un BON IVER de saison.
Son frère aîné, lui, préférait faire le kakou en jouant au sabacc (sorte de poker Texas Hol’dem intergalactique) sur la planète Tatooine avec Obi-Wan Kenobi et Luke Skywalker, 2 loosers magnifiques aux noms et prénoms à coucher sous un stalactique l’air de rien et en toute décontraction alors que le commun des Jedi aurait manifesté un désaccord assez légitime à coup de laser dans ta face à l’idée de s’assoupir sous cette lame à fort potentiel tranchant.
Après tout, chacun son truc. JOHN ne pouvait s’empêcher de penser qu’il était du bon côté de la force, entouré de Gabriel, Jacques, Céline, Mariwenn et Sylvain dans cette échappée solo toute personnelle, à l'abri et bien au chaud.
Dar Vador (ec), l’ami du mal et malin comme un singe qui ne pouvait plus faire de grimace, débarqua ni une ni deux sur la planète de JOHN TRAP (solo), habillé comme un Tokyo hotel 2 étoiles et débraillé comme un petit-déjeuner incompris.
Dar Vador (ec) tomba nez à nez sur JOHN TRAP (solo) qui terminait une composition au coin d’un feu à bûches cryonisées assez tendance.
« Je suis ton père ! », dit Dar Vador (ec) de but en blanc en regardant John droit dans les yeux et sans loucher.
JOHN TRAP (solo) n’était pas dupe. Il avait vu les 6 épisodes de la saga en DVD HD et connaissait l’histoire par cœur avec un e dans l'eau.
« Impossible ! », répondit JOHN en bombant le torse, fier comme Artaban.
Dar Vador (rec) le regarda bouche bée avec une voix un peu rauque' n ' roll.
JOHN TRAP se gratta le menton en fixant son adversaire avec de la colle Uhu.
« Ma mère ne peut pas avoir d’enfants ! », dit-il en sifflotant comme si de rien était l'air de
« The Moon Is Falling Down » .
Dar Vador resta coi comme un italien qui sait qu’il aura de l’amour et du vin.
« C’est beau ce que tu siffles, dis donc ! », dit Dar Vador (ec) en fumant une pizza 4 fromages, les doigts de pieds en éventail.
JOHN TRAP (solo) le remercia gentiment en l'appelant papa et en lui essuyant la sueur qui coulait sur son casque avec une peau de Wookies qui faisait aussi office de moquette.
« The Moon is falling down » est extrait de l’album « 1980 » à paraître en l’an de grâce 2009 ou 2010 après " L'homme qui tombe à pic ".
Après un 1er album (autoproduit), intitulé « 1977 » ( Episode IV, La guerre des étoiles sous le ciel et le crachin Breton) JOHN TRAP (solo), également guitariste et compositeur au sein du collectif SLURG aux côtés d’ HIMIKO PAGANOTTI, EMMANUEL BORGHI et ANTOINE PAGANOTTI, tous les trois issus du groupe MAGMA, et accessoirement batteur au sein du collectif POOR BOY s’attelle actuellement à la sortie de son second album avec une tonne de projets sous la cape dont je reparlerai dans un avenir pas si lointain que cela.
Dar Vador resta coi comme un italien qui sait qu’il aura de l’amour et du vin.
« C’est beau ce que tu siffles, dis donc ! », dit Dar Vador (ec) en fumant une pizza 4 fromages, les doigts de pieds en éventail.
JOHN TRAP (solo) le remercia gentiment en l'appelant papa et en lui essuyant la sueur qui coulait sur son casque avec une peau de Wookies qui faisait aussi office de moquette.
« The Moon is falling down » est extrait de l’album « 1980 » à paraître en l’an de grâce 2009 ou 2010 après " L'homme qui tombe à pic ".
Après un 1er album (autoproduit), intitulé « 1977 » ( Episode IV, La guerre des étoiles sous le ciel et le crachin Breton) JOHN TRAP (solo), également guitariste et compositeur au sein du collectif SLURG aux côtés d’ HIMIKO PAGANOTTI, EMMANUEL BORGHI et ANTOINE PAGANOTTI, tous les trois issus du groupe MAGMA, et accessoirement batteur au sein du collectif POOR BOY s’attelle actuellement à la sortie de son second album avec une tonne de projets sous la cape dont je reparlerai dans un avenir pas si lointain que cela.
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