Nono, Rudy, Coo et Sou s'observaient la face A devant un miroir sans tain. L'image était dédoublée et un peu floue.
Nono, Rudy, Coo et Sou n'en croyaient pas leurs oreilles et se frottaient la moumoute capillaire en écarquillant les yeux comme David Vincent la première fois qu'il les avait vus.
Pour lui, tout avait commencé par une nuit sombre, le long d'une route de campagne, alors qu'il cherchait un raccourci que jamais il ne trouva.
Pour eux, l'histoire commençait à peine devant ce reflet un peu trouble, limite suspect.
Nono, Rudy, Coo et Sou étaient perplexes et un tantinet inquiets.
Ils se regardaient en chien de faïence en attendant que la caravane passe.
La lumière réfléchissait à voix haute en se grattant le nez comme un automobiliste lambda coincé sur le périph dans les bouchons du matin .
La lumière réfléchissait à voix haute en se grattant le nez comme un automobiliste lambda coincé sur le périph dans les bouchons du matin .
La sensation étrange d'être observée par des yeux inconnus de l'autre côté du miroir était palpable comme un massage taoïste anti cellulite pour bourrelets neurasthéniques.
La tension était à son comble et Nono, Rudy, Coo et Sou légèrement nervous breakdow..
Derrière le miroir, une pièce sombre, éclairée par les soubresauts lumineux d'une boule à facettes cernée par la fatigue et un peu par la foule, dégageait une ambiance de dancefloor pathétique mais belle comme les yeux d'une jeune fille un peu triste.
Des jeunes gens modernes dansaient avec nonchalance sur une playlist élégante qu'un saule pleureur déguisé en DJ branché avait programmé pour l'occasion.
Certains, pleuraient en dansant. D'autres dansaient en pleurant.
La plupart avaient l'air heureux et ondulaient leurs corps comme des robots aseptisés mais complètement humanisés par la beauté du geste et par le son qui résonnait dans la salle comme un caisson de basse qui aurait fait main baffe sur la nuit.
Nono, Rudy, Coo et Sou, les 4 membres de SOURYA, n'entendaient ni ne voyaient ce qui se passait de l'autre côté du miroir. Pourtant, c'était bien le fruit mure de leurs compositions qui affolait la jeunesse sur cette piste de danse qu’une marque de mouchoir de poche aurait pu sponsoriser.
David Vincent, lui, savait mais en avait un peu marre de passer pour un débile profond.
Il préféra se taire mais haussa les épaules par dépit en pensant : " Rira bien qui rira le dernier ", « Je vous aurai prévenu » et " Pourquoi vous me regardez comme ça, vous quatre ? Vous voulez ma photo ? ".
Nono, Rudy, Coo et Sou n'étaient pas spécialement contre récupérer une photo du célèbre héros aux deux prénoms mais bon, ils avaient d'autres chats à fouetter avec leur martinet on the rock, élégant et désespéré, mélange de pop et d'électro où la symbiose des harmonies côtoyait le talent de façon incestueuse.
La tension était à son comble et Nono, Rudy, Coo et Sou légèrement nervous breakdow..
Derrière le miroir, une pièce sombre, éclairée par les soubresauts lumineux d'une boule à facettes cernée par la fatigue et un peu par la foule, dégageait une ambiance de dancefloor pathétique mais belle comme les yeux d'une jeune fille un peu triste.
Des jeunes gens modernes dansaient avec nonchalance sur une playlist élégante qu'un saule pleureur déguisé en DJ branché avait programmé pour l'occasion.
Certains, pleuraient en dansant. D'autres dansaient en pleurant.
La plupart avaient l'air heureux et ondulaient leurs corps comme des robots aseptisés mais complètement humanisés par la beauté du geste et par le son qui résonnait dans la salle comme un caisson de basse qui aurait fait main baffe sur la nuit.
Nono, Rudy, Coo et Sou, les 4 membres de SOURYA, n'entendaient ni ne voyaient ce qui se passait de l'autre côté du miroir. Pourtant, c'était bien le fruit mure de leurs compositions qui affolait la jeunesse sur cette piste de danse qu’une marque de mouchoir de poche aurait pu sponsoriser.
David Vincent, lui, savait mais en avait un peu marre de passer pour un débile profond.
Il préféra se taire mais haussa les épaules par dépit en pensant : " Rira bien qui rira le dernier ", « Je vous aurai prévenu » et " Pourquoi vous me regardez comme ça, vous quatre ? Vous voulez ma photo ? ".
Nono, Rudy, Coo et Sou n'étaient pas spécialement contre récupérer une photo du célèbre héros aux deux prénoms mais bon, ils avaient d'autres chats à fouetter avec leur martinet on the rock, élégant et désespéré, mélange de pop et d'électro où la symbiose des harmonies côtoyait le talent de façon incestueuse.
SOURYA prépare actuellement la sortie de son 1er album, intitulé " Dawdlewalk ", prévue pour le printemps 2009.
" Anatomy Domine " – EP, précèdera la sortie de cet album et sera disponible en décembre prochain chez Ctrl Alt Dele Records.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire