vendredi 30 janvier 2009

Playlist FLAIRS…






















I can dance better than Flairs
And I play bass better than Flairs And I make love longuer than Flairs And I
can eat, more stuff than Flairs...
but Flairs is better than me to make a playlist (Google traduction)
Après ce petit clin d'œil en forme d'hommage, je laisse la place à l'immense Flairs qui nous présente sa playlist.
Flairs play, non ?

1_ The Late Of The Pier/
The Enemy Are The Future :
Incroyable track qui commence très pop, pour partir sur une boucle électronique... pour moi c'est l'album de l'année, avec 50 idées a la minute...

2_ Caribou/
Melody Day :
La grande classe, sans aucun doute

3_ Justice/
Phantom Pt II (soulwax Nite Version) :
Un remix incroyable avec le Break le plus osé de l'histoire du remix: un très très long silence...

4_ Better Than Prince/
Benjamin remix :
On avait déjà remarqué Benjamin Theves chez Kitsune avec "Texas", un trac incroyable... quand j'ai reçu ce remix, je l'ai réécouté en boucle une centaine de fois dans la foulée... Incroyable, il a tout compris, a pris l'essence du morceau pour l'amener encore plus haut !
Un coup de maitre !!!!

5_ Belle & Sebastian/
Is It Wicked No To Care :
Une des chansons qui a encore le pouvoir de me faire pleurer...

6_ Panico/
Transpira Lo :
Incroyable track de Panico, un groupe Franco Chilien basé chez Tigersushi, dont je suis ultra fan depuis longtemps!

7_ Chateau Marmont/
Anything & Anywhere :
Une des étoiles montantes Françaises dont je suis incroyablement fan...

8_ Tahiti Boy/
Brooklyn :
Superbe Album de Tahiti boy, très touchant, et cette chanson me touche a chaque fois... à écouter absolument au réveil a fond...

" Sweat Symphony " (Third Side Records), le 1er album de Flairs, sera disponible le 9 février en version numérique et le 16 chez tous les bons disquaires.
Vous pouvez lire le petit texte consacré à cet album indispensable en suivant ce link. (Wall Street Institute)

mercredi 28 janvier 2009

REDLIGHT RECORDING SESSIONS#10: «Casanova» (démo)…


REDLIGHT RECORDING SESSIONS#9 : « Concerns » (démo)…
























Londres, quels sont les groupes qui t'ont le plus marqué ou influencé ?

Si on reprend mon parcours musical, il y a eu des passages très importants pour moi:
En 89, première claque musicale sur Seventh Son Of A Seventh Son de Maiden et Master of Puppets de Metallica.
On ne peut pas dire qu'on ressente ces influences dans ce que je fais mais ça a été une étape importante pour moi; suivie, tout de suite après, par le Hip Hop avec l'album Fear Of A Black Planet de Public Enemy.
En 91, 4 groupes ont énormément compté pour moi: les Pixies, Pearl Jam, Faith No More et Nirvana
Je citerais aussi dEUS, Air, Jedi Mind Tricks, System of a Down et Miossec pour la beauté de ses textes.
Sans oublier les maîtres du passé comme Pink Floyd ou Led Zep, bien sûr.
Dans ma rue, il est de notoriété publique que Pearl Jam est mon groupe "préféré", je suis fan depuis le début et l'influence s'en ressent particulièrement dans le chant, même si j'essaie de m'en détacher.

Difficile de faire une réponse courte car je pourrai parler de cela pendant des heures comme tout le monde dans le groupe. Ce qui est intéressant c'est que même si on a tous de influences en commun, chacun a un univers musical particulier.

La démo qui va suivre un peu plus tard s'appelle Casanova et marque une rupture radicale dans votre style musical, parle nous de ce morceau ?

Casanova est écrit a la troisième personne. Il a donc un coté plus "narratif" qui permet d'expérimenter et d'aller "fouiller" d'autres influences. Comme celle de Nick Cave sur l'album "Murders Ballads" dans lequel il racontait des scènes de crimes et prenait soins de nous balader dans pleins de décors très différents.
Le morceau a aussi volontairement un coté vintage un peu a la manière d'un quartet de jazz qui jouerait très près des spectateurs dans un cabaret jazz ( l'album "jazz dans le ravin" de Gainsbourg ne doit pas être loin aussi).
Il doit certainement y avoir aussi une influence cinématographique à chercher du coté des films de vampires et des films d'horreurs si on imagine Casanova avec le teint pale et les dents longes!)

mardi 27 janvier 2009

MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS : MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS (45 tours). L’amour en héritage…
























BUD LOW (the girl) et DIRTY HOLY (the boy), les deux membres de MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS, viennent d’un futur lointain mais cela ne se voit pas.
Ils ne portent pas de combinaisons hyper moulante aux couleurs aléatoires et douteuses, n’ont pas les oreilles en forme de choux-fleur cosmique et ne se baladent pas avec un sabre laser wi-fi accroché sous la ceinture.
BUD LOW et DIRTY HOLY sont comme vous & moi à un détail près. Ils viennent d’un futur lointain. Pas nous.
La différence peut paraître futile et anecdotique mais elle est notable comme un notaire de province qui regarderait Arte en boucle en se manucurant les ongles.
Il faut écouter leur musique pour comprendre (écouter plus bas).
J’ai voulu en savoir un peu plus sur BUD LOW et DIRTY HOLY.
Entretien télépathique (Ils n’ont même pas de téléphone portable, ça craint !).
J’active mon forfait 3W+.

De quelle période venez vous ?

Excuse moi, je capte mal. Notre vaisseau fait toujours un bruit de frigo...
Nous venons d'une période où il fait bon vivre, l'ère post révolution macro biotique des pingouins (ils sont venus s'installer chez nous depuis votre ère fondue des glaces).
On essaie de modifier le courant de votre période pour créer des interférences entre les différents réseaux mentaux de nos planètes.
On ne vous cachera pas que pour nous, ici c'est la préhistoire.
Cela dit, votre micro période informatique ne va pas durer. Votre planète n'en a plus pour longtemps, c'est pas un scoop. On n'est pas sûr de pouvoir y faire grand chose, vu le stade de débilité mentale atteint par vos peuples.
Le pire c'est qu'on ne vous apprend rien non plus à ce propos. On vous aime bien quand même, on s'attache vite aux choses. Pour ça, rien n'a changé.

Vous écoutez quoi en ce moment à votre époque ? Nous ici on est au top, Enrique Iglesias est toujours vivant...

Tu veux dire à notre strate spatio-temporelle (on parle comme ça chez nous mais bon on t'en veut pas, c'est vrai que vous en êtes encore au stade où les poules n'ont pas de dent).
Ca dépend un peu du parallèle où l'on se trouve. Mon cerveau droit aime Robert Wyatt & Brian Eno, mon cerveau gauche le rock n roll bien rageux et bien retenu d'Elvis Presley aux Sonics.
Et puis Aphex Twin ou Animal Collective n'ont toujours pas perdu leur aura.
Ca date un peu mais faut dire qu'ici, la musique est compliquée.
Les ondes sont décomposées et il faut travailler avec des machines à coudre juchés sur des éléphants volants. C'est compliqué je vous dis.
J'avoue que j'ai été assez touchée par votre ère, quand la vie est dure les artistes sont grands. C'est tout à fait empirique, hein.

Comment définiriez vous votre musique ?

Impossible. J'aimerais qu'on puisse dire: "impossible à définir", "indéfinissable". Ca viendra, nous n'en sommes qu'à nos premières expériences avec vos modes de composition et vos instruments ancestraux (ndlr les ordinateurs notamment).

Vos influences, références ?

Mes rêves sont une bonne référence en matière d'inspiration. Les ruptures de la vie une influence en matière d'expiration. Tu dis si on fait des fautes d'expression, on n'est pas encore au top de votre logique langagière.

Pourquoi sortir un 45 Tours vinyle alors qu’à notre époque à part 2, 3 aficionados même pas espagnol, les platines vinyles n’existent quasiment plus ?

Celle là, tu vois, je l'attendais mou comme un spaguetti. Enfin un scoop pour vous!
Jetez-vous sur les platines, qui contrairement à ce que tu as l'air de penser connaissent un nouvel élan! Ici j'ai entendu parler du CD, du mp3. Chez nous, ce sont les prototypes de l'anti matière! Va te rhabiller et achète toi une bonne vieille platine, ça te fera plaisir.
Et tu arrêteras la boulimie.

Vous aimez vous vraiment où tout cela n’est que marketing affectif ?

C'est un peu personnel non ? Tu fais des heures sup chez Voici ?
On est marié et on a trois enfants, un chien et une caravane. Et parfois, Dirty se balade en caleçon dans le jardin.

Une version de MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS non floutée est -elle prévue tard le soir ?

Il parait qu'elle a circulé sur internet, si tu la vois je ne veux pas le savoir.

Vos projets, un album bientôt ? (question subsidiaire)

Ta question suicidaire me parait essentiel au contraire!
Je finis un documentaire sur des gardians, vous avez des pratiques étranges dans votre pays et vous ne le savez même pas. Ce sont des sortes de cow boys qui gardent les taureaux en Camargue.
On a filmé ça ensemble et Dirty fait la musique. Je pense que ce sera un beau film. Presque un western à l'ancienne.
On va certainement sortir un mini album rapidement (parce qu'on a des centaines de chansons qui attendent leur sort) et j'espère enregistrer dans un joli studio où l'on saurait quoi faire, nous!
Et puis pour finir, te manger tout cuit!


Entretien réalisé à la 1ère personne avec les deux cerveaux de MY GIRFRIEND IS BETTER THAN YOURS.

La page MySpace de MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS

La vidéo de « MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS » (version floutée)



lundi 26 janvier 2009

J'ai envie de pleurer...


SHOEGAZING KIDS...


vendredi 23 janvier 2009

Playlist (RedLight Recording Sessions)...


























Il est évident que le poète écrit sous le coup de l'inspiration mais il y a des gens à qui les coups ne font rien.
Boris Vian

jeudi 22 janvier 2009

NRJ MUZIQUE ÂWARDS : Envoye-donc, tabernacle...



















Pourquoi s'enfarger les fleurs dans le tapis ?
La page MySpace du chum Normand L' Amour.

mercredi 21 janvier 2009

REDLIGHT RECORDING SESSIONS#6 : « Magic » (démo)…
























6ème démo proposée dans le cadre des REDLIGHT RECORDING SESSIONS, initiative qui vous permet de suivre l'évolution des compositions du second album du groupe REDLIGHT.
Le décor est planté. Passons à l'arrosage.
Petit message personnel et sympathique à l'attention des gentils lecteurs :
Londres, un des membres du groupe REDLIGHT, qui participe activement avec moi à ces REDLIGHT RECORDING SESSIONS (c'est lui qui, je vous le rappelle, répond directement à vos commentaires, impressions,
suggestions..) a posté un message suite à la REDLIGHT RECORDING SESSIONS#5 (voir plus bas dans la partie commentaires) disant à peu près ceci:

« On espère que vous avez apprécié les démos (premier jet pour la plupart). Laissez nous vos impressions, c'est intéressant pour nous ».

Sans commentaire(s)

Lao-Tseu, une tortue Ninja taoïste connu pour avoir un humour so british malgré une ceinture noire 3ém dan de marque Gucci d'un goût douteux a écrit un truc super drôle en l'an moins et quelque avant JCDC qui ressemblait grosso modo à ceci et qui n'a aucun rapport avec ce que vous venez de lire jusque là.
(je cite de mémoire en consultant Wikipédia) :
« Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas »
Super drôle, non ?
Je vous laisse méditer en écoutant
« Magic »

« Magic est un morceau qui a été composé le lundi 19 janvier 2009.
Il est donc tout frais et n'a pas eu l'occasion d'être repensé ou développé. Vous en avez la primeur avant même certains membres de RedLight ! »
Londres


Magic
(L.Orthlieb)

Clocks counting down might have said,
paintings on my hands would one day
become a road where I could find something
anything

Broke my old mind yesterday
thinking too much once again
trying to change widows in butterflyes
or anything

Anything just might be possible
if possible could be a dream
in my reality i would still be breathing

reversing time, regrets would fade
but how could i try to change
the magic is gone and there s no hope anymore

dawns disappearing in the night
still not a second in my sight
where i could rest and feel something
anything

since there s no time or no reason
for me to stand still in the storm
I might fall down in a vision of something
or anything

Copyright REDLIGHT

REDLIGHT RECORDING SESSIONS#5 : « Get Well » (démo)…





















« Get Well» est la 5ème démo proposée par le groupe REDLIGHT dans le cadre des REDLIGHT RECORDING SESSIONS.
Londres nous présente cette nouvelle démo :

« Get Well » parle d'une rupture amoureuse, du temps qui passe et de la douleur qui elle ne s'estompe pas.
Les regrets sont toujours là.
« Get Well » parle également de l'incompréhension de voir que la personne en face arrive à avancer et éprouve moins de douleur que vous… dans ce type de moment, j écris énormément de chansons qui forcement traite du même sujet et qui sont un exutoire pour moi, une manière de faire sortir tout cela, et surement une façon détournée d'essayer de communiquer avec l'autre.
« Get Well » parle aussi du choix d'agir de manière sensée comme un adulte ou de laisser libre court à la frustration et à la colère.
Toutes ces émotions font qu'au bout du compte on se retrouve immobile en ayant peur de faire un pas dans un sens ou dans un autre, ne sachant quelle décision prendre.
Cette démo est un premier jet (musique/ paroles) ».
Londres

Get Well
(L.Orthlieb)

Worship your demons, they make you human
small devil and a white angel on each shoulder
through the years it felt like sofas on the run
always so immobile while your head doesn t get better

How could i get well
while you re running away

monsters, monsters with passive blood to spare
agony of feeling alone with a truth or dare
sketches sketches, projects in the air
agony of being stuck in a stare

Copyright REDLIGHT

mardi 20 janvier 2009

MINUSCULE HEY : « We feel Minuscule »-EP. Elle a tout d’une grande…

























Emily (basse, chant, flûte, calamine, crincrin, air), Laurent (guitare, chant, clavier, flûte, percus, glockenspiel) et Drum Machine (boum boum tchac tchac) sont tous trois originaires de Bordeaux et proposent un rock minimaliste où s’entrecroisent des influences improbables, loufoques, déjantés et limite farfelues.
Interview choc de Drum Machine, boite à rythme du groupe MINUSCULE HEY.

Drum, en un boum et un tchac, parlez nous de MINUSCULE HEY ?

Le projet « minuscule hey » est né en 2006. Après plusieurs années à chercher leur voie entre compétions de patinage artistique, braquages de banques et confection de marionnettes, Emily et Laurent ont compris que ce qu’ils voulaient vraiment faire, c’était du rock.
Ils avaient besoin de quelqu’un pour assurer la rythmique et m’ont contacté après m’avoir entendu jouer lors du mariage d’un de leurs ami.

On ne s’est plus jamais quittés.

Le radiateur dans vos clips vidéos a une place prépondérante, expliquez nous pourquoi ?

En tant que machine, je me fous de la température tant qu’elle n’atteint pas des extrémités insoutenables. En revanche, mes acolytes sont tous deux incroyablement frileux.
Aussi l’explication de la présence constante de ce radiateur n’a rien à voir avec un goût prononcé pour la fonte ou une quelconque volonté de récurrence esthétique. Elle est tout simplement indispensable à leur bien être en général et plus précisément au bon déroulement de leur processus créatif.

Comment définiriez vous la musique et le style de MINUSCULE HEY ?

Boom boom tchak tchak pom pom pom gling gling la la la

Vos influences sont-elles aussi improbables, loufoques, déjantés et limite farfelues comme décrites plus haut par l’auteur de ses lignes, qui quelquefois s’emballe un peu ?

Elles sont en tous cas assez disparates. Il y a les imparables Beatles, le Velvet, The Kills ou Moldy Peaches… mais c’est vrai qu’on y trouve beaucoup d’artistes qui aiment partir dans tous les sens, expérimenter, comme Sparks, Fiery Furnaces, Gonzales ou Radiohead (que je connais un peu car j’étais au collège avec le sampler de Jonny Greenwood. Je le salue au passage).
Nous sommes assez influencés par cette vision de la musique comme une perpétuelle recherche. Mises à part nos références musicales nous sommes également très marqués par l’univers de cinéastes comme Terry Gilliam, Jacques Tati ou Michel Gondry.

Vos projets dans les 5 années à venir ?

Vieillir de 5 ans… Et dans un même temps, terminer nos enregistrements en cours, continuer à visiter de nouvelles contrées géographiques, leurs salles de concerts et leurs radiateurs.

Votre souhait le plus cher à très court terme ?

Qu’on me débranche, ça m’a épuisé.

« We feel Minuscule » est disponible en cliquant ici.
Les deux extraits ci-dessous sont disponibles sur les deux 1ers EP de MINUSCULE HEY.
Plus d'infos sur le site et sur la page myspace du groupe.

" Mississipi "


" Bananoffee "

lundi 19 janvier 2009

Une image, un son : focus sur LE TONE…

























Qui êtes vous LE TONE ?

Salut, je pense être un musicien avec son propre langage, c'est ce qui m'importe le plus.
Je ne vis que pour ce que je fais, et j'essaye de mener à bien les idées qui me viennent.
Aujourd'hui, je fais plus de dessins qu'avant, mais c'est une sorte de boucle,
car je suis venu à la musique par le graph'.
J'aime l'univers de la ville, d'ailleurs je consacre un de mes prochains disque à Paris, ma ville, et je pense faire partie d'une sorte de mélange mondial de diverses musiques, je ne m'inscris pas dans un truc typiquement français ou anglo-saxon, mais bien plus universel.
J'ai une admiration sans faille pour Prokofiev, qui a toujours essayé de présenter sa musique comme son univers, le plus simplement possible, et c'est un peu ma doctrine.

Parlez nous de cette image, de votre travail en général ?

C'est une image extraite de mon blog de dessins (letonedessine.blogspot.com), et ça symbolise plusieurs étapes.
Je crois qu'à l'enfance on a des émotions simples pour la musique, qui s'opacifient avec l'âge et les différentes tensions "politiques"... Par exemple, j'aimais sincèrement Steve Waring parce que je pouvais chanter ses chansons rigolotes, et quand Thriller est sorti, j'étais fier de m'acheter mon premier disque, et de faire comme tout le monde.
Après avec l'adolescence, on choisit plus la musique comme les vêtements, on a envie d'appartenance, à un groupe, un style, etc... on perd l'émotion principale.
Et bien pour ma musique, j'essaye toujours d'être dans l'état de spontanéité enfantine, et de ne pas penser à la perception que l'on aura de mon travail. Etre naïf et spontané.

Pourquoi avoir choisi ce son ?

C'est le premier morceau que je fais avec mes filles. C'est dans un disque que j'ai fait pour les TséTsé associés, qui sont deux créatrice de design, qui font sérieusement des choses rigolotes et naturelles. En ça je me sens très proches d'elles !!!!
J'ai fait ce disque en enregistrant leurs objets, et en travaillant avec les sons !

Vos projets ?
Faire la bande son du grand bazar de Lille au Printemps avec les TséTsé, et un disque sur Paris, avec une chanteuse surprise et extraordinaire. Et me faire réparer les genoux pour planter des buts comme quand j'avais 20 ans !

L'album en " Inde " de LE TONE est toujours disponible là où vous savez.
(vous pouvez écouter de larges extraits sur sa page myspace en cliquant ici)
Un nouveau single, intitulé " Paris Delhi" est d'ailleurs disponible depuis peu.
Son blog de dessin, est consultable en suivant ce lien.
Pour tout savoir sur LE TONE, cliquez ici.
Un grand merci à LE TONE pour sa participation active et amicale, sa gentillesse et son talent.

Balleneuve...


















" Why Choose One Side " est extrait de 
" Alesia E.P. ".
Les (THE) PARISIANS enregistrent en ce moment un nouvel album.

vendredi 16 janvier 2009

REDLIGHT RECORDING SESSIONS#4 : « 25 Drops » (démo)…

























« 25 Drops » est la 4ème démo proposée par le groupe REDLIGHT.
Ce titre, goutte à goutte entêtant, est une invitation pour un voyage au dessus des nuages, le corps en suspension et les oreilles sous perfusion avec la lumière du soleil.
Je vous invite à laisser vos impressions dans la soute à commentaires juste après votre enregistrement.
La durée de vol est estimée à 3mn 07.

25 Drops
(Music/Lyrics: L.Orthlieb)

25 drops of your violent poison (the killers on the run)
25 drops to build an endless prison
where darkness rules into oblivion
my shadows on the move in my blurried vision

i see clouds inside our eyes, 25 drops
of a black rain inside me to cut my throat
you give them with the smile of the evil curse
be sure to stand up still for the last drop

cut through me like arsenic
25 drops of your evil poison

(paroles incomplètes)

Copyright REDLIGHT

jeudi 15 janvier 2009

FRANZ FERDINAND : " Ulysses " (vidéo). Alors, heureux ?...


Co-Branding : TOYOTA + FRANZ FERDINAND = " No You Girls Never Knows " extrait de " Tonight " à paraître le 26 janvier. Borne In Japan…




















Le titre est téléchargeable gratuitement et légalement sur la page Myspace de TOYOTA.


Rencontre avec NICOLAS MORVAN, comédien et metteur en scène. God save the pigs…

























Actuellement sur l'affiche de DISCO PIGS en compagnie de Anne-Laure Gruet, Nicolas Morvan, jeune comédien en N&B sur fond rouge, un peu destroy au niveau de l'index, affûté comme une iroquois à fixation improbable et incisif comme un couteau Japonais de marque Tojiro , nous parle de DISCO PIGS, une comédie punk rock qui se pogote actuellement à LA MANUFACTURE DES ABBESSES ( 7, rue Véron- Paris 18ème/ métro Abbesses ou Blanche) jusqu'au 14 février prochain.

Nicolas, DISCO PIGS est votre première mise en scène. Parlez nous de cette première expérience ?


J’avais envie de retrouver au théâtre la même énergie que peut fournir un groupe de rock sur scène.
Je voulais avoir des émotions brut, punk, sans concessions.
Avec de la musique forte, du sexe, du sang et de la transpiration.

La musique est un élément central de DISCO PIGS, expliquez nous pourquoi et comment vous avez choisi STEREOLIVE, un groupe Parisien, issu de la scène indé ?

STEREOLIVE est un jeune groupe qui ne se pose pas trop de questions ; ils ont la grâce :
quand on assiste à un de leurs concerts on comprend, en quelques minutes, qu’ils sont bien au-dessus de toute cette nouvelle génération de groupes de rock un peu fabriqués.
Leur charisme est étonnant et leurs compositions évoluent à une vitesse impressionnante.
Ils ont beau ne pas être pressés et souhaiter continuer à roder leurs morceaux sur scène, je fais le pari qu’un producteur malin va les signer rapidement et qu’ils nous ferons un album qui mettra tout le monde d’accord.
D’ailleurs, toute l’équipe de DISCO PIGS a succombé à leurs chansons


Comment travaille t-on la mise en scène sonore d'une pièce comme DISCO PIGS ?

J’avais dans la tête des ambiances très précises ; dans Twin peaks de David lynch, par exemple, la musique d’une scène dans un bar : une musique très lancinante composée par Angelo Badalamenti, un peu répétitive, qui prend le pas sur les dialogues.
Karim Berraf est parti de ce morceau pour créer une ambiance de boite de nuit oppressante, un peu glauque, et totalement magique.
Il enregistre en ce moment un album envoûtant avec son groupe « NESS».

Quelle genre de musique écoutez vous avant de monter sur scène ?

Sid Vicious et les Sex Pistols, les Stooges, les Clash et surtout Gogol Bordello

Et après ?

Gogol Bordello, le meilleur groupe de gypsy punk.
Beaucoup de musique tsigane : Saban Bajramovic , Mahala Raï Banda,
Boban Markovic, fanfare Ciocarlia, etc…

Le trailer, ci-dessous :

mercredi 14 janvier 2009

Je veux être une noix de coco : " Drummer " extrait de " Davy " à paraître le 20 janvier...


REDLIGHT RECORDING SESSIONS#3 : " Toys " (démo)…


















A vous de jouer.

Toys
(Music/Lyrics: L. Orthlieb)

Get up, it s still early, the small hours, so many
so many things to see
so many places to be well
as stuck as me, i might as well keep on dreaming

6,7,8 i m still a child there s no reason why I should start to die
9, 10, 15 my toys are broken i feel almost empty
it s just starting to rain
(paroles incomplètes)

Copyright REDLIGHT


REDLIGHT RECORDING SESSIONS#2 : « Astronaut » (démo)…


















2ème post consacré aux REDLIGHT RECORDING SESSIONS, initiative qui vous permet de suivre les esquisses sonores qui figureront très certainement sur le second album que prépare actuellement le groupe REDLIGHT.


La démo proposée aujourd'hui s'intitule" Astronaut " et est à déguster Moonboots délassées, le corps allongé en apesanteur et les oreilles branchées sur Radio Frissons.

Londres, en deux mots, parlez nous de ce morceau ?

« Astronaut est une chanson parlant de ces moments où l'on examine ce que l'on fait dans sa vie jusqu'au jour présent, en repensant à ses rêves d'enfant.
Le mien était d'être astronaute d'où le titre de la chanson.
Le texte parle des regrets que l'on peut avoir quant a la réalisation de ses rêves, quand aux décisions que l'on a prise ainsi qu'à leurs conséquences.
L'image de ce rêve d'enfant," j'aurais pu être un astronaute" englobe en fait tout ce qu'on aurait pu faire.
Le texte est également lié aux ruptures amoureuses et aux regrets liés à celles ci en se demandant si on a pris la bonne décision, si on ne s'est pas trompé de route.
C'est un titre assez mélancolique.
Quand au coté technique, le morceau n'est pas du tout travaillé et n'est à ce stade qu'une démo a laquelle le groupe n'a pas encore participé.
Elle ne fait pour l instant pas partie des chansons retenues pour le 2 ème album.
Merci a tous pour votre intérêt, j'espère que vous aimerez "Astronaut".
N'hésitez pas à nous donner votre avis ».
Londres

Vous pourrez voir REDLIGHT en direct live sur internet ce soir dans l'émission les MERCREDIS ROCK #7.


Astronaut
(Music/Lyrics: L.Orthlieb)

It s been a long winter, thinking about it it s been a long year
millions of waves have died on the shore but i m still the same
one after one giving me the chance to keep my head above the water
i m still not sure that i ll see the next summer

I could have been an astronaut
i could have been a clown
i could have been someone
but thinking about my life and the choices i made
burns all my time

It s been a long time and thinking about it i d rather be alone
millions of thoughts burning my head couldnt make me move
I thought i had seen an angel but the devil s horns have never been so near
well i don t care cause my only scare was losing you

I could have been an astronaut
i could have been a clown
i could have been someone
but thinking about my life and the choices i made
burns all my time

I could have been a free man
i could have been a happy man
i could have been someone
but losing half of me and feeling so empty
burns all my time

Time keeps on burning so slowly

Copyright REDLIGHT

mardi 13 janvier 2009

JOHN TRAP (solo) : « Israel », SIOUXIE & THE BANSHEES cover (post 2) …

























Je ne peux m'empêcher de vous faire écouter cette magnifique reprise du groupe SIOUXIE & THE BANSHEES orchestrée par JOHN TRAP (solo), sortie de nulle part et belle comme un coucher d'étoiles filantes.


JOHN TRAP (solo) : « The Moon Is Falling Down » extrait de « 1980 »- (Album). Episode V – L’empire du Finistère contre attaque (post 1) …

























JOHN TRAP (solo) est le petit frère cadet de HAN (solo), célèbre personnage de la Guerre des étoiles, contrebandier arrogant mais néanmoins sympathique, pilote émérite du fameux Faucon Millenium et copain comme cochon avec Chewbacca, ours en peluche de bonne famille, typé comme un dreadlock à poils longs et vêtu d’une simple ceinture à explosion nucléaire de marque approximative mais néanmoins dissuasive
La guerre faisait rage du côté de chez Swann et de Jabba le Hutt . 

Il ne faisait pas bon traîner ses guêtres dans le coin pour des raisons obscures mais finalement assez claires à comprendre si on voulait bien faire un tout petit effort géostationnaire.
JOHN TRAP (solo) était en transhumance avec son collectif de musiciens depuis plusieurs années sur la planète Finistère en attendant que les choses se tassent plus ou moins.
La situation était géopolitiquement compliquée et JOHN préférait rester entouré d’amis fidèles à composer des chansons à faire pleurer les étoiles avec sa princesse ooTiSkulf, sœur jumelle de la princesse Leia à deux gouttes d'eau près. 
OoTiSkulf ne portait pas de casque iPod de marque Bose greffé sous les couettes.
JOHN TRAP(solo) était un homme libre comme l'air qui connaît la chanson.
Son truc à lui, c’était la musique et tous ces combats entre le bien et le mal lui passaient au dessus du bonnet et de la chemise à carreaux comme un BON IVER de saison.
Son frère aîné, lui, préférait faire le kakou en jouant au sabacc (sorte de poker Texas Hol’dem intergalactique) sur la planète Tatooine avec Obi-Wan Kenobi et Luke Skywalker, 2 loosers magnifiques aux noms et prénoms à coucher sous un stalactique l’air de rien et en toute décontraction alors que le commun des Jedi aurait manifesté un désaccord assez légitime à coup de laser dans ta face à l’idée de s’assoupir sous cette lame à fort potentiel tranchant.
Après tout, chacun son truc. JOHN ne pouvait s’empêcher de penser qu’il était du bon côté de la force, entouré de Gabriel, Jacques, Céline, Mariwenn et Sylvain dans cette échappée solo toute personnelle, à l'abri et bien au chaud.
Dar Vador (ec), l’ami du mal et malin comme un singe qui ne pouvait plus faire de grimace, débarqua ni une ni deux sur la planète de JOHN TRAP (solo), habillé comme un Tokyo hotel 2 étoiles et débraillé comme un petit-déjeuner incompris.
Dar Vador (ec) tomba nez à nez sur JOHN TRAP (solo) qui terminait une composition au coin d’un feu à bûches cryonisées assez tendance.
« Je suis ton père ! », dit Dar Vador (ec) de but en blanc en regardant John droit dans les yeux et sans loucher.
JOHN TRAP (solo) n’était pas dupe. Il avait vu les 6 épisodes de la saga en DVD HD et connaissait l’histoire par cœur avec un e dans l'eau.
« Impossible ! », répondit JOHN en bombant le torse, fier comme Artaban.
Dar Vador (rec) le regarda bouche bée avec une voix un peu rauque' n ' roll.
JOHN TRAP se gratta le menton en fixant son adversaire avec de la colle Uhu.
« Ma mère ne peut pas avoir d’enfants ! », dit-il en sifflotant comme si de rien était l'air de
« The Moon Is Falling Down » .
Dar Vador resta coi comme un italien qui sait qu’il aura de l’amour et du vin.
« C’est beau ce que tu siffles, dis donc ! », dit Dar Vador (ec) en fumant une pizza 4 fromages, les doigts de pieds en éventail.
JOHN TRAP (solo) le remercia gentiment en l'appelant papa et en lui essuyant la sueur qui coulait sur son casque avec une peau de Wookies qui faisait aussi office de moquette.

« The Moon is falling down » est extrait de l’album « 1980 » à paraître en l’an de grâce 2009 ou 2010 après " L'homme qui tombe à pic ".
Après un 1er album (autoproduit), intitulé « 1977 » ( Episode IV, La guerre des étoiles sous le ciel et le crachin Breton) JOHN TRAP (solo), également guitariste et compositeur au sein du collectif SLURG aux côtés d’ HIMIKO PAGANOTTI, EMMANUEL BORGHI et ANTOINE PAGANOTTI, tous les trois issus du groupe MAGMA, et accessoirement batteur au sein du collectif POOR BOY s’attelle actuellement à la sortie de son second album avec une tonne de projets sous la cape dont je reparlerai dans un avenir pas si lointain que cela.

lundi 12 janvier 2009

Une image, un son : focus sur P-A GILLET...

























Qui êtes vous P-A GILLET ?

Je suis le fruit du viol perpétré par Serge Poliakoff sur Walker Evans en 1970.
Dans une autre vie, je fus créatif dans diverses agences de publicité pendant une dizaine d’années avant d’avoir une révélation philosophique :
il est parfaitement futile de vendre du vent à des gens qui n’ont pas vraiment besoin.
Depuis cinq ans, je suis artiste à plein temps, j’ai fait une dizaine d’expositions et récemment je suis devenu bloggeur compulsif.
Sinon, je suis amateur de pâté, papa et parfois concepteur-rédacteur en free-lance. Enfin, avant la crise des subprimes.

Parlez nous de cette image, de votre travail en général ?

Cette image est issue d’un travail réalisé en 2005 dans une usine de la banlieue de Paris. J’aime l’opposition de ses matières, son mouvement, son rythme et l’histoire qu’elle raconte. Elle me dit qu’il faut aller de l’avant, suivre son propre chemin et voir où cette direction me mène. Pour moi, le goudron, le béton sont des matières aussi nobles que l’huile et l’aquarelle.
Je ne me considère pas photographe, je me sers du médium photo pour mon travail artistique. Les matières urbaines sont mon sujet de prédilection
et je tente de leur offrir une vie propre en les composant, en les sortant de leur univers pour créer des images à la limite de l’abstraction que je tire n très grand format.
J’aime cette citation de Jean Baudrillard car d’une, ça me donne l’impression d’être cultivé et deux, je m’y retrouve parfaitement.
"Lorsque je dis que je ne suis pas photographe, c'est parce que je vois bien que les photographes veulent être photographes.
Ils fabriquent un produit qu'est la photographie. Alors que pour moi, la photo est un médium, un support, certainement révélateur
de quelque chose mais qui reste en soi un objet impersonnel. Ce qui m'intéresse, c'est l'objet, ce n'est pas le projet photographique."

Pourquoi avoir choisi ce son ?

Cette chanson est un voyage dans la nuit en 3 minutes et 50 secondes. Elle me donne envie d’avoir une Porsche Targa 911 orange, d’appuyer sur le champignon et de voir de quoi demain sera fait si je ne loupe pas le premier virage. The Longcut n’est pas encore très connu, c’était donc l’opportunité de le faire écouter à d’autres qui en ont marre du sempiternel “Born to be wild”.

Vos projets ?

Exposer dans une galerie à Tokyo, une autre à Berlin, une troisième à New York ou gagner assez d’argent à l’Euromillion pour ouvrir mon propre espace et exposer les gens de talent autour de moi. Avoir des collectionneurs à foison, montrer mon travail à Art Basel, Frieze Art Fair et à la FIAC l’année prochaine mais c’est pas gagné. Continuer mon blog car j’écris ce que je veux et c’est pas désagréable. Trouver un galeriste qui fait son travail sans avoir des chevilles plus grosses que les seins de Samantha Fox. Avoir plus de reconnaissance artistique, retourner à Bali, à Hong Kong, aller au Brésil et en Argentine, faire l’amour plus souvent et déguster du pâté de foie de volaille au cognac, sauf les jours où je mange du Chicken Tandoori car ça ferait quand même beaucoup et je n’aime pas trop vomir.

Un grand merci à P-A GILLET d'avoir accepté d'inaugurer avec brio cette nouvelle rubrique (encore une) Chicken Tandooresque.
Vous pouvez suivre la vie palpitante de P-A GILLET en consultant régulièrement son blog : APRÈS LA PUB. De l'art, de la photo, de la musique, des amis, du pâté et d'un peu de pub (élu ici même, je le rappelle, blog le plus hilarant de la blogosphère (mais pas que) de l'année 2008) en suivant ce lien.
Son site de photographie est visible ici.
Sa page flickr est consultable en cliquant .
Une expo photographique se termine le 17 janvier au CUBE, centre d'art numérique d' Issy-les-Moulineaux.
Un aperçu peut être vu Issy.
En (sub)prime son site free, ici même.

vendredi 9 janvier 2009

Le plat du jour du mois : POOR BOY, " Dreamer, Are U Sad ? " …

























Cette semaine pas de playlist pour le week-end, juste un son.
Un son qui devrait vous prendre aux tripes en vous retournant les oreilles avec l'agilité et la souplesse d'un judoka ceinture noire 3ème dan, légèrement nervous breakdown.
POOR BOY, auteur de ce son intense à la frontière du rock transgressif et du waza-ari, me fait l'immense honneur d'inaugurer cette nouvelle rubrique qui verra, comme son titre l'indique de façon aléatoire, le son d'un un artiste prometteur mis en avant sur ce blog pendant grosso modo un mois.
" Dream Are U Sad ? " est extrait d'un album au titre éponyme et au contenu renversant à paraître dans le courant de l'année 2009.

jeudi 8 janvier 2009

MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS : " From My Sofa ". Amour, gloire et beauté...

























MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS est avant tout un duo d'une époque future lointaine.
BUD LOW (the girl), cinéaste de génie (reconnue par ses ancêtres / Godard, Scorsese, Pasolini, Jean-Claude Van Damme) et DIRTY HOLY (the boy), musicien incroyablement prolixe et inspiré (Syd Matters, Los Chicros, Docteur Alban) s'allient pour créer un projet d'art total.
Venant du futur, nos deux jeunes amants vont révolutionner la pop, en faisant découvrir les tubes de l'avenir qu'ils interprètent avec nonchalance et luxure.
Entre folk nostalgique, pop 60's, disco du millénaire, électro pacifiste, rock & roll envoûtant et même voix blues velours, nos deux spécimens dépassent toutes leurs influences passées et futures en se délectant de leur univers cosmique.
Amoureux de la pop, Bud est l'anarchiste électro pop 60's, Dirty l'architecte de mélodies enchanteresses.
Leur château se situe entre amour des textes à histoires baroques et épopées musicales du futur.
Quadruple disque de platine d'or au Japon et au Venezuela, ils sont actuellement demandés par les salles les plus mythiques aux quatre coins du monde.
Au IIIème siècle après Jésus Christ 2, Bud Low et Dirty Holy sont considérés comme des génies; découvrez les avant tout le monde !
(texte : MY GIRLFRIEND IS BETTER THAN YOURS)

Que rajouter de plus ?


mercredi 7 janvier 2009

REDLIGHT RECORDING SESSIONS : " Backward Evolution " (démo)/post 2 …

























Backward Evolution :
(Musique/paroles: L.orthlieb, L.Dapélo,G.Sampieri)

Look at you thinking you re the one
thinking the world is yours and noone else around
what about this lipstick and what a lovely coat
you might as well be stuck in a fucking museum
you know everything and sure you re always right
your morale is for everyone but you always lose its sight
you live in your bubble thinking love is yours
you might as well be dead cause you ll end up all alone

backward evolution
strip scenes in slow motion
Backward Contradiction
street scenes revolution

think about who broke your heart
will you still act the same
is it just revenge or just an excuse for being human
well only time will tell if you finally pay your crimes
what goes around comes around in its own time
you re surely brighter than the brighter of the sun
you re surely smarter than the cleverest of the brains
oh yeah that s what you think but is it real?
now open your eyes and have a reality feel

REDLIGHT RECORDING SESSIONS : " Backward Evolution " (démo)/ post 1 …




















Après un 1er album autoproduit ("Crash System Control", disponible en version digitale / voir post consacré au 1er album de REDLIGHT en suivant ce lien), REDLIGHT s'attelle actuellement à la composition de son second opus.
L'idée de ses " REDLIGHT RECORDING SESSIONS " est de vous faire partager et de vous impliquer de façon régulière dans le processus créatif d'un jeune groupe Français, talentueux et à l'avenir prometteur.
A l'heure où j'écris ces lignes (15h02, heure GMT/UTC), REDLIGHT a quasiment bouclé une douzaine de titres en démos presque abouties. D'autres titres verront sûrement le jour d'ici le clap de fin. La genèse d'un album a ses raisons que la raison ne connaît pas.

Parsemées d'interviews et de points de vues plus ou moins pertinents, voir futiles, ces démos (REDLIGHT RECORDING SESSIONS) seront mise en ligne sur ce blog de façon sporadique et à un rythme plus ou moins soutenu. Ce qui, je le concède, ne veut à peu près rien dire.
Ce blog n'a pas la vocation de se substituer à certains concepts "fumeux " de production participative à but mainstream et lucratif. Ici, c'est " Toi plus Moi " mais au niveau du partage et de l'échange lié au seul processus créatif d'un jeune groupe de rock qui mérite une attention et une exposition plus en phase avec le talent qu'il dégage.
Voilà pour l'idée.
Je vous encourage fortement à laisser vos commentaires dans la partie "commentaires " de ce post (voir plus bas en baissant la tête). Je précise. C'est pas toujours évident.
L. Ortlieb, L Dapélo et G. Sampieri , les 3 membres du groupe REDLIGHT, répondront sûrement directement aux commentaires les plus pertinents.
Pour ceux qui ne connaissent pas, on réécoute " Crash System Control " extrait du 1er album éponyme.
" Backward Evolution " (1ère démo) en écoute dans le post suivant.



REDLIGHT RECORDING SESSIONS : " Backward Evolution " (démo)…




















Après un 1er album autoproduit ("Crash System Control", disponible en version digitale / voir post consacré au 1er album de REDLIGHT en suivant ce lien), REDLIGHT s'attelle actuellement à la composition de son second opus.
L'idée de ses " REDLIGHT RECORDING SESSIONS " est de vous faire partager et de vous impliquer de façon régulière dans le processus créatif d'un jeune groupe Français, talentueux et à l'avenir prometteur.
A l'heure où j'écris ces lignes (15h02, heure GMT/UTC), REDLIGHT a quasiment bouclé une douzaine de titres en démos presque abouties. D'autres titres verront sûrement le jour d'ici le clap de fin. La genèse d'un album a ses raisons que la raison ne connaît pas.
Parsemées d'interviews et de points de vues plus ou moins pertinents, voir futiles, ces démos (REDLIGHT RECORDING SESSIONS) seront mise en ligne sur ce blog de façon sporadique et à un rythme plus ou moins soutenu. Ce qui, je le concède, ne veut à peu près rien dire.
Ce blog n'a pas la vocation de se substituer à certains concepts "fumeux " de production participative à but mainstream et lucratif. Ici, c'est " Toi plus Moi " mais au niveau du partage et de l'échange lié au seul processus créatif d'un jeune groupe de rock qui mérite une attention et une exposition plus en phase avec le talent qu'il dégage .
Voilà pour l'idée.
Je vous encourage fortement à laisser vos commentaires dans la partie "commentaires " de ce post (voir plus bas). Je précise. C'est pas toujours évident.
L. Ortlieb, L Dapélo et G. Sampieri , les 3 membres de REDLIGHT, répondront sûrement directement aux commentaires les plus pertinents.
Pour ceux qui ne connaîtrait pas, on réécoute " Crash System Control " extrait du 1er album éponyme.


lundi 5 janvier 2009

FLAIRS : « Sweat Symphony »- Album. Butter Than P’tit Prince…






















FLAIRS avait réussi à s’échapper cahin-caha de ce cartoon en N&B que lui avaient concocté gentiment Jonas & François, deux clipeurs Parisiens branchés comme une paire de baskets bio et talentueux comme deux prénoms équitables parfumés au tofu, pour le lancement de son 1er maxi, intitulé « Better Than Prince », au printemps dernier.
L’expérience avait été plutôt cool. Le titre avait fait le tour de la planète «hype» à la vitesse de l’ADSL et pour un 1er galop d’essai, le succès était arrivé au rendez-vous avec une ponctualité d’horloger Suisse en hennissant à la cool sans accent ridicule.
Hors du clip, il faisait une chaleur à ne pas mettre une chemise dehors sous peine de la retrouver en 2 temps, trois mouvements, toute auréolée de la tête aux pieds avec les dessous de bras amphibies.
FLAIRS avait profité de deux secondes d'inattention pour filer à l'anglaise en parlant un Français plus que correct. Jonas & François avaient d’autres chats à fouetter, ce qui franchement n’était pas cool, mais bon, grâce à cette activité débordante, FLAIRS en avait profité pour prendre ses jambes à son cou en partant avec l’eau du bain et sa basse sous le bras.
Il avait passé plus de 6 mois dans ce cartoon à faire le kéké et franchement, il était temps pour lui de penser sérieusement à la suite.
FLAIRS était maintenant libre comme l’air. Son visage retrouva des couleurs.
Il essuya la sueur qui perlait sur son front en mangeant un p’tit Lu, Better Than PRINCE lui aussi.
Il fallait prendre quelques forces car le monde à l'extérieur l'attendait de pied ferme en trépignant d'impatience.
Passé le coup de maître, il fallait maintenant assurer et concrétiser.
FLAIRS avait beau avoir travaillé avec MELO, BENJAMIN DIAMOND et ALEX GOPHER, il n’en restait pas moins bassiste.
Un bassiste talentueux , certes, mais avec quatre cordes à son arc, uniquement.
Seul, il devait assurer, composer, enregistrer, mixer, arranger et faire des tubes avec un petit handicap de cordes qu’un rockeur lambda n’aurait pas supporté.
La pression était forte mais peu importait. FLAIRS avait toujours rêvé de faire un album solo. Un album qu’il pourrait maîtriser et revendiquer de a à Z ou de « Superlife » (piste 01) à «Golden Years » (piste 10) en faisant un p’tit doigt d’honneur avec les deux cordes qui soit disant lui manquaient.
A l'écoute, le pari est plutôt réussi et le résultat tout simplement magistral.
FLAIRS réussi avec cet album le hold-up parfait de ce début d'année 2009.
« Sweat Symphony » est un album racé, truffé de tubes et de pépites electro, rock et pop qui n’en finissent pas, plage après plage, de maltraiter vos poils de bras superflus en les hérissant dans un garde à vous salvateur et sans fin.
« Sweat Symphony » sortira le 9 février prochain sur le label Third Side Records.
En écoute ci-dessous « French Cowboy » .
Chaud devant !





" Better Than Prince"

Tracklisting de l'album « Sweat Symphony » :
01_ Superlife
02_ Better Than Prince
03_ Re Balls
04_ Truckers Delight
05_ Whamma Gonna Do
06_ French Cowboy
07_ Radio
08_ Neighbourwatch
09_ Square Boy
10_ Golden Years

samedi 3 janvier 2009

CONTROL CLUB (ex- AS DRAGON) : " Rougir " extrait de " Morphine Ballroom ". Rock à guitares sans flonflons, ni trompettes...
























L'album " Morphine Ballroom " sera disponible en février 2009 chez Diamondtraxx.